L’attitude du croyant

Viviane Freitas

  • 15
  • Déc
  • 2014

L’attitude du croyant

  • 15
  • Déc
  • 2014

Bonjour, c’est un plaisir d’être ici et je suis sûre que c’est aussi un plaisir pour vous d’être ici avec nous.


Pourquoi? Parce que le Saint-Esprit est parmi nous!

Ami internaute, je ne peux pas venir ici et exiger de vous quelque chose qui n’existe pas ou s’est produit à l’intérieur de moi. La même exigence de la foi que vous ressentez, c’est la même chose que j’ai pour moi.

Celui qui sert sur l’Autel ne peut pas vivre de paroles et de prédication, mais sa vie doit être une offrande, un sacrifice vivant, constant sur l’Autel de Dieu. Sinon on devient juste un croyant… qui parle juste la Parole de Dieu, fait les choses de la bonne manière, ceci dit, il n’y a aucune différence, rien de nouveau et révolutionnaire dans sa propre vie, parce qu’il agit de manière religieuse. Et je n’accepte pas ce genre de foi, celle d’un croyant religieux. C’est pourquoi je suis toujours active et vigilante, avec des larmes, cherchant à exercer ma foi, parce que je ne peux pas m’arrêter dans le temps.

Les témoignages que je vous ai transmis sont passés! Ce que je dois vivre, c’est l’«aujourd’hui», vivre la foi actuelle, parce que ce qui est passé, est passé.

Aujourd’hui nous allons parler de l’attitude du croyant, d’ailleurs parce que beaucoup sont dans la campagne, veillent, sacrifient, mais après la campagne, ils ne peuvent pas y mettre un terme!

Si vraiment vous êtes en train de sacrifier, votre sacrifice se poursuit avec ce que vous avez appris au cours de ce dernier. Vous devez être attentif et ne pas retourner aux pratiques et aux erreurs commises avant. Ne vous relâchez pas dans votre foi!

Faites attention à l’attitude du croyant:

«Et Achab fit appeler Abdias, chef de sa maison. – Or Abdias craignait beaucoup l’ETERNEL; et lorsque Jézabel extermina les prophètes de l’ETERNEL, Abdias prit cent prophètes qu’il cacha cinquante par cinquante dans une caverne, et il les avait nourris de pain et d’eau. – Achab dit à Abdias: Va par le pays vers toutes les sources d’eau et vers tous les torrents; peut-être se trouvera-t-il de l’herbe, et nous conserverons la vie aux chevaux et aux mulets, et nous n’aurons pas besoin d’abattre du bétail. Ils se partagèrent le pays pour le parcourir; Achab alla seul par un chemin, et Abdias alla seul par un autre chemin.» (I Rois 18:3-6)

Abdias était le majordome du roi Achab. Dans cet épisode, Abdias était seul, Dieu n’était pas avec lui.
Lorsque vous n’agissez pas la foi, vous restez seul! Vous pouvez craindre Dieu, faire des oeuvres de charité, comme ce fut le cas avec Abdias, qui avait caché les 100 prophètes pour que Jézabel ne les tue pas… Il faisait ce qui est juste et craignait Dieu.
Mais ce n’est pas suffisant de craindre, donner la dîme, l’offrande, ne pas mentir ou voler, parce que vous ne préservez pas le Salut, sachant que ce qui vous préserve c’est la foi pratique, la foi qui révolutionne et vous fait être une personne, qui en présence de Dieu, vit réellement ce moment-là! Alors que le croyant, qui fait seulement ce qui est juste et obéit, devient, accommodé, sans sacrifice.

Abdias craignait Dieu, mais il avait peur de Jézabel. Et même les serviteurs de Dieu qu’il avait aidés, étaient accommodés! Ils étaient 100 prophètes vides de «prophétie», parce qu’ils devaient être cachés par Abdias dans une caverne, étant soutenus par lui avec du pain et de l’eau. Ni les prophètes ou Abdias étaient attentifs!

Et qu’est-ce qui nous permet d’être attentifs? Lorsqu’il y a une croyance à l’intérieur de nous, nous avons une foi vivante. La foi qui anime notre esprit et nous fait exiger de nos attitudes, le fait de nous donner, un défi, une haine contre le péché, contre le mal et l’opposition contre l’œuvre du diable. Vous vous rendez compte que Abdias et les 100 prophètes ne faisaient pas cela… Ils étaient là, laissant tout passer, sans rien faire!
Je vous demande: Peut-être que vous vivez avec plusieurs affronts du diable, comme dans votre maison, au travail et partout et vous ne faites que de la charité, vous priez, parlez à Dieu: «Change cette personne…», mais votre attitude ne fait rien!

Voyez que le Saint-Esprit est soumis à votre esprit et qu’Il dépend que vous ayez une foi vivante. Il ne peut pas faire ce travail lorsque vous vous limitez, vous avez peur et acceptez; quand vous avez besoin de vous cacher, comme les prophètes, ou quand on a peur de ce que le diable peut faire et donc vous ne l’affrontez pas.

Dans ce cas, vous êtes un «Abdias»! Vous ne commettez pas l’adultère, vous ne mentez pas, vous faites tout ce qui est droit, mais vous agissez lâchement, craintivement. Ce n’est pas la foi qui plaît à Dieu, comme la Bible le dit: «Sans la foi il est impossible de Lui être agréable.» Faites une réflexion de votre vie.

Le 14, ce n’est pas juste pour présenter votre sacrifice et restez les bras croisés, mais vous devez continuer… faire face à l’œuvre du diable, faire violence à vos sentiments de peur, à ce qui vous rend accommodé, à ce qui vous annule dans votre foi. Levez-vous, ne soyez pas timide ou apeuré. Mettez du «feu» dans votre offrande, pas seulement le 14 ou dans les jours suivants, mais par la suite, compromettez-vous à être une personne différente! Lorsque vous sortirez de cet autel, ne sortez pas de la même manière. N’acceptez pas d’être cette personne annulée, incertaine et lâche qui craint les défis. Négatif! Relevez-vous de cette frustration et abandonnez l’attitude de croyant. Soyez un homme et une femme de Dieu, Son représentant ici sur terre, avec votre attitude de pouvoir!

Les sept Esprits de Dieu doivent faire partie de vous et pas seulement celui de crainte. Les six autres doivent habiter en vous-même et, pour cela, vous devez «chasser». Soyez intelligent et utilisez votre foi.

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2 comentários

  1. Ce dont j’avais besoin de lire !

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  2. Merci pour ce message. Cela m’a fortifié.

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