Comment l’homme de Dieu bénit-il?

Bonjour à tous les internautes. Chaque semaine, nous sommes ici pour vous bénir.

Et j’ai l’autorité pour bénir, car non seulement je parle, mais je vis une foi authentique et rationnelle. Et pour la vivre, c’est un exercice… et l’exercice fait «suer» la chemise, le front… et il doit y avoir réellement un objectif pour pratiquer l’exercice de la foi.

Aujourd’hui, nous allons aborder le thème: comment un homme de Dieu bénit-il?

Si vous avez suivi le Blog, ces derniers jours, où nous parlons d’Elie, vous avez entendu parler de comment il a défié le roi Achab. Vous devez le suivre, si vous n’y avez pas assisté, depuis le premier jour, où nous parlons d’Elie.

«Elie lui dit: Ne crains point, rentre, fais comme tu as dit. Seulement, prépare-moi d’abord avec cela un petit gâteau, et tu me l’apporteras; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils.
Car ainsi parle l’ETERNEL, le Dieu d’Israël: La farine qui est dans le pot ne manquera point et l’huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu’au jour où l’ ETERNEL fera tomber de la pluie sur la face du sol.
Elle alla, et elle fit selon la parole d’Elie. Et pendant longtemps elle eut de quoi manger, elle et sa famille, aussi bien qu’Elie.
La farine qui était dans le pot ne manqua point, et l’huile qui était dans la cruche ne diminua point, selon la parole que l’Eternel avait prononcée par Elie.» (I Rois 17:13-16)

A qui parlait Elie? A la veuve que Dieu a dit qu’Il allait être nourri par elle et lui donna encore l’ordre de demeurer auprès d’elle. Vous savez ce que cela signifie? Demeurer dans un endroit et être nourri par une femme avec un fils qui traverse des nécessités?!

Dieu a pris Elie de là où il était, pour être nourri par des corbeaux, avec du pain et de la viande, jour et nuit, le menant à la veuve, précisément à elle, qui était active et a fait un défi!

Comme à l’Eglise Universelle du Royaume de Dieu vous avez l’habitude d’entendre le mot défi. Et pourquoi? Parce que c’est précisément ce que vous voyez dans la Bible, tant dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament.

Maintenant Élie s’adressait à la la veuve… Et voyez comme c’est beau! Comme nous pouvons rester indifférents aux faits véritables, au témoignage d’Elie, à son audace! Dieu l’a envoyé pour bénir cette veuve.

Dieu envoya Son serviteur à celle qui est active et pas à celle qui reste assise, en pleurant, qui cesse son travail ou de résoudre ses problèmes, pour rester en train de murmurer, vivant ses limitations ou ses problèmes et drames… Je sais ce que c’est! Je vis ce moment critique, mais ce n’est pas pour me consommer ou m’arrêter. Bien au contraire, c’est pour apporter à l’existence ce qui n’existe pas et même pour vous bénir! Je vous dis ce que Dieu me parle et ce qu’il fera dans votre vie, mais vous devez réagir; vous ne pouvez pas rester stagnante.

Comme l’homme de Dieu a dû réagir et s’opposer au sentiment de peine. Ou pensez-vous que l’homme de Dieu, qui vit une vie juste, qui veut la justice sur la terre, voyant une personne en train de vivre dans la douleur à cause d’un roi qui fait tout ce qui est mal… Croit que cet homme ne va pas rester indigner avec cette situation et ému, dans ses sentiments, de voir cette femme et son fils avec une dernière poignée de farine pour manger et mourir?!

Mais voyez ce que Dieu a fait: Il l’a envoyé, pas pour qu’il ait peine de cette veuve, mais pour la bénir! Pour utiliser la foi.

Et c’est ce que vous devez faire! Relevez-vous de cette prostration et séchez ces larmes. Cela vous fait du mal? Vous êtes en train de vivre des situations difficiles? «Avalez» ami internaute et agissez votre foi. Ne vivez pas par le sentiment. Si pleurer résoudrait, vous ne seriez plus en train de souffrir, parce que vos larmes auraient déjà résolu votre situation. Mais la peine et l’agitation, ne résolvent rien. Vous devez donc réagir, relevez le défi et faire face aux problèmes que vous vivez, comme cela est arrivé à Elie, qui a fait le défi.

«… prépare-moi d’abord avec cela un petit gâteau, et tu me l’apporteras; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils.»

Elie n’a pas dit: « Fait tout d’abord pour ton fils, le pauvre, je suis serviteur; je vais tout d’abord te servir et après tu le feras pour moi… » Il n’a pas dit cela, mais l’opposé!

Et pourquoi y a-t-il eu l’obéissance, «… La farine qui était dans le pot ne manqua point, et l’huile qui était dans la cruche ne diminua point…». Et c’est ce qui se passe avec vous, quand il y a l’obéissance, quand vous risquez votre vie et vous affrontez vos sentiments. Parce que vous croyez! Ce n’est pas simplement une croyance verbale, mais dans la pratique, vous vous donnez, avec dévotion, avec tout ce que vous êtes!

C’est cette force qui plaît à Dieu et non les fois où vous dites que vous allez faire quelque chose et vous ne faites rien, parce que vous ne vous opposez pas aux sentiments et vous n’haïssez pas ce qui vous rend faible! Quand vous mettez votre force c’est parce que vous croyez! Car la joie de l’Eternel est notre force.

A la semaine prochaine!