La saveur de la foi

Bonjour à tous les internautes. C’est un plaisir d’être ici avec vous.

Nous allons continuer à parler du livre de l’Exode, où nous sommes en train de lire la vie de Moïse. Il était un bébé, lorsque nous avons parlé, lundi, au sujet de l’attitude de sa mère, Jacobed.

Nous allons poursuivre cette histoire, ce qui est arrivé, après que la mère ait permis qu’il survive:

«La soeur de l’enfant se tint à quelque distance, pour savoir ce qui lui arriverait.

La fille de Pharaon descendit au fleuve pour se baigner, et ses compagnes se promenèrent le long du fleuve. Elle aperçut la caisse au milieu des roseaux, et elle envoya sa servante pour la prendre.

Elle l’ouvrit, et vit l’enfant: c’était un petit garçon qui pleurait. Elle en eut pitié, et elle dit: C’est un enfant des Hébreux!

Alors la soeur de l’enfant dit à la fille de Pharaon: Veux-tu que j’aille te chercher une nourrice parmi les femmes des Hébreux, pour allaiter cet enfant?

Va, lui répondit la fille de Pharaon. Et la jeune fille alla chercher la mère de l’enfant.

La fille de Pharaon lui dit: Emporte cet enfant, et allaite-le-moi; je te donnerai ton salaire. La femme prit l’enfant, et l’allaita.

Quand il eut grandi, elle l’amena à la fille de Pharaon, et il fut pour elle comme un fils. Elle lui donna le nom de Moïse, car, dit-elle, je l’ai retiré des eaux.» (Exode 2:4-10)

Voyez ici la providence de Dieu, la saveur de la foi!

Lundi, nous avons parlé au sujet du poids, que nous portons lorsque nous sommes accrochés à quelque chose. Et lorsque cette femme, Jacobed, la mère de Moïse, a pris l’attitude, de non seulement le cacher, pendant trois mois, le laisser dans le fleuve, nous voyons qu’elle n’a pas passé son temps à lutter ou à réclamer contre Dieu: “Pourquoi as-tu permis, Seigneur, que cela arrive?! Nous sommes ton peuple, nous faisons partie de Ton héritage et on est en train de tuer nos enfants? Comment est-ce possible, Dieu?!” Elle n’a pas réclamé, mais elle a agi d’une façon intelligente. Et sa fille, certainement, a vu la foi de sa mère et a accompagné l’enfant lorsqu’on l’a mené au fleuve. Elle est restée à quelques distances, en train d’observer ce qui se passait.

Lorsque vous croyez en Dieu, vous prenez des attitudes différentes et vous n’êtes pas menée par les circonstances.

Voyez que la jeune fille, sa fille, a pris aussi une attitude rationnelle, en observant, à distance, ce qui allait se passer. Et ainsi, la fille de Pharaon est descendue au fleuve pour se baigner et lorsqu’elle a ouvert la caisse et a vu l’enfant pleurer, elle eut pitié. Alors la sœur de Moïse lui est apparue et lui dit: «…Veux-tu que j’aille te chercher une nourrice parmi les femmes des Hébreux, pour allaiter cet enfant?

Va, lui répondit la fille de Pharaon. Et la jeune fille alla chercher la mère de l’enfant.

La fille de Pharaon lui dit: Emporte cet enfant, et allaite-le-moi; je te donnerai ton salaire. La femme prit l’enfant, et l’allaita.»

Voyez bien la saveur de la foi!

Lorsque nous sommes accrochés aux choses, à nos poids, nous sommes tourmentés, mais lorsque nous déposons notre “poids” et nous laissons Dieu prendre les rênes de ce qui doit être fait, par expérience, je vous dis: c’est la meilleure chose à faire!

Dieu sait travailler. Nous ne savons pas agir de la bonne manière, alors, lorsque nous laissons dans les mains de Dieu, en sachant qu’Il est capable de faire, parce que nous Le connaissons, nous manifestons cette foi!

Je ne sais pas si, vous qui m’écoutez, vous êtes confiant en Dieu, parce que peut-être que vous parlez avec Dieu, mais après vous professez des paroles négatives. Mais lorsqu’il y a une croyance, la confiance en Dieu et vous savez qui Il est, vous avez la paix!

S’il existe un tourment en vertu des circonstances, nous sommes littéralement guidés par les circonstances et cela ne résout rien. Maintenant, lorsque vous agissez avec certitude, vous prenez les mesures et les initiatives qui doivent être prises.

Cette femme a eu l’expérience que les autres mères n’ont pas eu, car tant Dieu, comme le Saint-Esprit, Se soumettent à notre esprit. Lorsque nous définissons notre croyance, notre foi et notre vie avec Dieu, je constate qu’Il travaille de la manière que nous nous mettons à Sa disposition. Si je fais dominer ma volonté, normalement, je garde ce que j’ai peur de perdre, mais quand je permets à Dieu de rester sur ce problème et je le mets entre Ses mains, je dépose ce poids et je le mets dans le «fleuve», Dieu voit ma foi et a restitué ma joie, à travers un miracle. Voyez ce que Dieu a fait! La propre mère de Moïse l’a élevé jusqu’à ce qu’il ait grandi et n’avait plus besoin d’être allaité, contrairement à toutes les autres mères.

Lorsque le garçon grandit, elle le lui a redonné. Encore une fois la mère s’est assujettie, le donnant pour être élevé par la fille de Pharaon, qui l’a appelé Moïse, le grand Moïse, que nous allons accompagner au cours de ces jours.

Pour que Moïse, David, un homme et une femme de Dieu existent, il y a eu des choix et c’est ce qui fait la différence! Ou l’on se remet à 100 % ou l’on retient et plus on retient, plus on reste lourd, plus triste l‘on est, plus mêlé à ce monde égocentrique, on sera. Mais lorsque vous vous défaites de ce qui vous appartient, de la peur, il est impossible à Dieu de ne pas manifester Sa puissance.

Voyez que la fille du Pharaon n’avait rien à voir avec Dieu, mais elle a été touchée par la foi!

C’est la foi qui vous justifie et si vous n’agissez pas votre foi, vous resterez comme les autres, qui sont en train de souffrir dans des situations semblables. Soyez rationnelle, utilisez la foi intelligente, qui ne se mêle pas aux sentiments, mais qui agit par l’entendement et qui résout ce qu’elle doit résoudre.

Nous serons de retour vendredi, en poursuivant le Livre de l’Exode. Laissez ici votre commentaire et permettez-moi de mieux vous connaître!