Déposez votre poids

Viviane Freitas

  • 6
  • Oct
  • 2014

Déposez votre poids

  • 6
  • Oct
  • 2014

Bonjour à tous les internautes. Comme il est très bon d’être ici avec vous!

Nous sommes en train de lire le livre d’Exode et dans le dernier audio, nous avons parlé au sujet des sages-femmes, à qui pharaon a ordonné de tuer tous les enfants – «hommes» – des Hébreux, parce qu’il craignait la croissance du peuple d’Israël. Et cet ordre fut accompli, tous les garçons, descendants des Hébreux, furent tués, pour essayer d’empêcher le développement de ce peuple.

Mais voyez ce qui s’est passé:

«Un homme de la maison de Lévi avait pris pour femme une fille de Lévi.

Cette femme devint enceinte et enfanta un fils. Elle vit qu’il était beau, et elle le cacha pendant trois mois.

Ne pouvant plus le cacher, elle prit une caisse de jonc, qu’elle enduisit de bitume et de poix ; elle y mit l’enfant, et le déposa parmi les roseaux, sur le bord du fleuve.» (Exode 2:1-3)

Quelle foi a démontré cette femme, l’épouse d’un lévite! Elle a essayé de cacher son fils, mais cela n’étant plus possible, elle a préparé une caisse de jonc et a déposé son bébé sur le bord du fleuve.

Et aujourd’hui, qu’est-ce cela a à voir avec nous?

Tout ce que nous avons gardé, est généralement ce que nous valorisons. Ce que nous préservons, nous le conservons et nous le cachons, c’est parce que cela a de la valeur.

Dans les Ecritures, nous ne voyons pas que cette femme est devenue injuste envers Dieu. Elle a seulement agi d’une manière intelligente!

Et alors qu’elle gardait, pendant trois mois, cet enfant innocent, elle était terrifiée, parce qu’elle savait qu’elle n’avait pas le droit de le faire.

Et aujourd’hui, ami internaute, ce que vous avez gardé à l’intérieur, ce qui vous perturbe, inquiète, vous rend anxieux, craintif, apeuré, ayant des doutes et tourmente votre vie, peut-être depuis plusieurs mois ou années? Il faut se débarrasser du poids, parce que, en tant qu’êtres humains, nous gardons le passé, ce qui brille à nos yeux, nos effets personnels, famille, ce que nous aimons. Et lorsque cela est menacé ou en danger, cela fait bouger notre structure humaine et nous courons le risque d’agir par le sentiment.

C’est à nous de nous débarrasser du poids, parce que, en tant qu’êtres humains, nous gardons le passé, ce qui brille dans nos yeux, nos effets personnels, notre famille, qui nous aimons. Et lorsque cela est menacé ou en danger, cela ébranle notre structure humaine et nous courons le risque d’agir par le sentiment.

Voyez que l’on ne dit pas que cette femme a pleuré, «hurlant» de douleur, mais certainement elle a eu des douleurs, comme celui de déposer son fils, bébé, innocent, dans la rivière, ne sachant ce qui allait se passer. Mais elle a pris une initiative, une attitude, qui a surpris Dieu, Lui permettant de l’utiliser, en choisissant un homme qui allait devenir le libérateur du peuple d’Israël. Et il en est ainsi avec toute personne, qui agit par la foi intelligente et qui ne reste pas stagnée dans ses sentiments et sa douleur.

C’était inutile de cacher cet enfant, car il allait mourir de toute façon. Et donc elle l’a déposé dans le fleuve. Quand elle l’a fait, elle a également, déposé l’anxiété, ce dont elle était accrochée, ce qu’elle cachait et ce qui lui était précieux.

Cette femme a agi de façon intelligente et la même chose nous est arrivée, lorsque nous laissons ce qui nous asservit, nous emprisonne, peut-être un nouveau défi, un événement qui s’est passé dans les dernières années, avec un membre de votre famille, un fils, un mari, des frères, auquel vous avez été emprisonné.

Ou un problème économique que vous essayez de cacher, de protéger et de défendre, d’une manière ou d’une autre. Et que se passe-t-il? Souvent surgissent des situations difficiles, non pour juger Dieu, ou Le voir comme injuste, mais pour matérialiser notre foi. L’attitude de cette femme, sans qu’elle le sache, allait sauver le peuple par l’intermédiaire de son fils!

Voyez comment le Saint-Esprit est soumis à nos attitudes: Si cette femme était restée avec l’enfant caché, certainement il serait mort, mais elle a fait ce qui est surprenant! Personne ne lui a appris cela, mais selon sa propre foi. Et cela m’a beaucoup appelé l’attention: combien de fois restons-nous accrochés à quelque chose, dont nous ne voulons pas nous défaire?! Fils, mari, diplôme, carrière, futur, famille, quoi qu’il en soit… Mais c’est ce qui nous rend lourds!

Imaginez le tourment pour les trois mois que l’enfant se cachait… la peur, le manque de paix que cette femme avait, durant ce temps. Mais elle a pris une attitude: elle l’a déposé, s’en est défait!

Vous devez donc laisser tout ce que vous gardez et vous rend lourd, comme les craintes ou la peur de prendre des attitudes.

Donc vous devez laisser tomber tout ce que vous enregistrez et vous rend lourd, les craintes ou la peur de prendre des mesures.

Cela ne vaut pas la peine d’être lourde! Peut-être quand vous entendez parler de sacrifice, dans l’Eglise et que Dieu vous demande quelque chose, pensez: «Dieu, me demande quelque chose de si difficile!» Seulement vous ne savez pas que lorsque Dieu nous demande, c’est précisément pour arracher le «poids» qui est en nous.

Lorsque cette femme a laissé son fils dans le fleuve, elle a pris l’attitude de le mettre entre les mains de Dieu. Son attitude «dit» cela et votre attitude parle au sujet de votre foi! Elle parle sur ce qu’elle professe et de la façon qu’elle croit en Dieu. Votre attitude révèle qui est Dieu pour vous. Et à ce sujet, vous devez réfléchir, ami internaute.

A chaque fois que quelque chose vous tourmente, quel qu’il en soit, déposez-le! Remettez-le entre les mains de Dieu et Il fera quelque chose, que vous n’attendez pas.

Mercredi nous vous en dirons plus sur ce qui est arrivé à l’enfant, le résultat de l’attitude de cette femme.

D’ici là, laissez votre commentaire, me disant ce en quoi vous êtes prisonnière. Permettez-moi de vous connaître un peu! Nous sommes disposés à prendre soin de vous à travers le Blog. Nous avons, tous les jours, un thème: pour les ouvrières, les mères et les enfants, pour les jeunes, des thème sur la santé, prenant soin de vous. Mais pour mieux prendre soin de vous, c’est plus facile lorsque vous vous faites connaître. Alors, participez au Blog. Votre participation est précieuse.

Mes salutations et nous serons de retour, mercredi avec l’audio.


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5 comentários

  1. Bonjour
    Ce n’est effectivement pas si facile pour moi d’ouvrir ma vie de déposer mes fardeaux en parlant à une personne. Peut être que je me trompe, mais j’ai pris l’habitude de parler à Dieu dans mes prières. Très rarement je parle à quelqu’un de mes problèmes. Je préfère les résoudre que d’en parler. Quand ils sont résolus là je peux parler.
    C’est vrai un problème irresolu est une honte un fardeau. Et en les confiant à Dieu je sais qu’il trouve pour moi la solution la meilleure. Mais mon plus grand défi et plaisir est d’avoir la paix dans la tempête. Seulement Dieu peut me la donner.

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  2. La semaine dernière , j’étais trop préoccupé car j’avais du retard sur mes tâches ( je suis candidate pour le rush)

    Lorsqu’on est préoccupé on ne voit que le problème, et on ne prend pas les attitudes .

    Alors je dépose cela entre ces mains et Dieu m’a fait comprendre que  » une seule chose est nécessaire »

    Malheureusement souvent j’ai tendance à oublier cela

    merci madame à bientôt

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  3. Merci Madame pour cet article , je pense que le plus difficile est de REELEMENT déposer le fardeau car des fois nous allons pour laisser le fardeau entre les mains de Dieu avec foi, mais arrivée une situation on a une peur, une crainte par rapport a se fardeau mais il ne devrait pas avoir de doute si nous avons l’assurance que c’est entre les mains de Dieu . Alors c’est difficile c’est vrai mais a partir du moment ou nous remontons notre problème entre les mains de Dieu c’est pour ne plus s’en soucié ..

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  4. Ces temps ci j étais très préoccupé avec la famille, travailles, vue économique et cetais un poids lourd au point de dormir préoccupé , anxieuse.
    Je dépose cela entre ses mains . Plus facile à dire qu’à faire

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  5. Cette article m’aide beaucoup car je me vois à travers cet article. Par moment, j’ai des attitudes et je me dis, je fais mon maximun. Dieu à travers son esprit depuis quelques semaines ne cesse de me montrer que mon maximun, n’est pas mon maximun. Je sais que dans beaucoup de choses, je reste à ma place, je fais ma part pensant que je ne peux pas aller au-delà. Avec tout ce qu’il me montre, les situations par lesquels il me fait passer. La question que je me pose c’est : pourquoi as tu peur de faire la différence? Pourquoi tu n’excelles pas là où tu sais que tu peux surpasser?

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