Expérience : La peur déguisée

Au début du mois je pensais beaucoup au sujet de la peur, analysant moi-même.

Je décidée que je voulais fouiller moi-même, parce que les premiers–visibles et monstrueux craintes – avaient déjà été vaincus.

Je me pose toujours des questions, je me défie à moi-même et j’ai conclue quelque chose – si c’est Dieu que m’envoi, j’irais. Soit dans le coin, en Chine ou dans la conduite d’une fusée. C’est ma foi. Je crois que si Dieu m’envoi, n’importe où, avec n’importe qui et à faire ce qu’est nécessaire, rien ne me peut faire face, rien ne sera impossible pour moi.
 
Je me suis souvenue de mes premiers pas, quand j’ai découvert le Chemin de cette foi audacieuse, des premières attitudes. Le premier a été de reconnaitre que toute la honte, timidité, mon ego que me protégeais, était une épaisse couche de fierté. J’ai dû faire face et lutter, en faisant le contraire de ce que je voudrais – et de ce que j’avais l’habitude de faire, et bien fait, pour cacher l’incomplète que j’étais.  
 
Il y a quelques années que cela a changé, quand vraiment je n’avais rien à perdre, je n’avais pas peur d’être différente, dans tous les aspects. 

Lors d’une réunion du Godlywood de ce mois, j’ai pu en parler avec les filles que sont dans le groupe – la détermination de faire la différence, à payer le prix pour cela, c’est que nous rends filles de Sarah, filles de la promesse.
Le « SI » qu’est à la fin du verset, que nous sommes en train de lire depuis le début de l’année, montre que, tandis que je ne surmonte pas toutes mes craintes, tout ce que nous avons appris au cours de ces mois disparait (1 Pierre 3: 6). Ce n’est pas une option, mais une condition.

Savez-vous ce que j’ai découvert avec elles ? Pendant que je cède à la peur, elle prend la place de tout ce que Dieu veut faire dans ma vie, de ce que je peux être pour le royaume de Dieu.
Donc, c’était seulement dans la semaine dernière que j’ai trouvée, la peur cachée. Elle était bien déguisée, faire semblant d’être quelque chose de bien – peur d’être inconvénient, à « se mettre où elle n’a pas été appelée », marchant main dans la main avec une politesse.

A fini par être une limite : je limitais mon nombre de mots, je limitais démontrer mon affection, donner mon avis même sans que personne ne demande. C’était quelque chose que je faisais avec moi-même, un frein à main.

Bien sûr, je sais que nous avons tous nos « bons limites » de l’éducation, du respect, de la bonne convivialité et la discrétion, mais comme dans certains autres obstacles que j’avais terrassé dans le chemin, cela était déjà trop exagéré 🙁
Et tout ce qu’est déséquilibré, il n’est pas bon.