Ouvrière auto-suffisante

Je parlais à une ouvrière, elle me raconté au sujet de ses difficultés et de ses déserts qu’elle était en train de vivre.

Ses paroles étaient presque schématiques. Sa position devant ce qui se passait, était de quelqu’un avec beaucoup d’assurance et de pratique. Il semblait qu’il n’y avait pas de douleur et seulement une sorte d’autosuffisance, comme si elle pouvait résoudre tout avec la force de ses bras. Et c’est là précisément où le danger rentre en jeu!

Vous pouvez demander: «Mais Luisa, ceci n’est pas une chose positive, la personne sûre d’elle et pratique au moment de la détresse? »

D’une part, oui, parce que la personne ne se laisse pas abattre facilement, mais d’une autre part, la situation peut mener la personne à l’indépendance de Dieu, puisque ce sera une fierté pour la personne surmonter toute seule… et ceci arrive très subtilement.
Dans les moments difficiles, nous devons profiter pour chercher au maximum, en profondeur, ce que Dieu veut nous révéler. Parce que tout ce qui arrive dans notre vie n’est pas en vain, en particulier dans la vie d’un juste. Dieu veut toujours parler quelque chose de nouveau et de révéler plus sur nous.

Pour cette raison, ne vous soyez pas indifférente au moment de la douleur, car cela vous éloigne de Dieu.

Nombreuses sont les ouvrières qui se sont mise en évidence par son service dans l’oeuvre de Dieu, elles sont actives, toujours prêtes. Mais quand il s’agit de résoudre son intérieur, cherchant en Dieu ce qu’il prétend de pour leurs vies dans les moments difficiles … elles se soutiennent dans leur travail et dans leurs connaissances. Et de cette manière,elles finissent par ne pas prendre l’avantage respectif à son développement intérieur et personnelle.

Nous ne devons pas oublier que tout est permis par Dieu, et souvent comme un moyen d’attirer notre attention pour aller à plus près de Lui; plus intimement, afin de dépendre entièrement de sa force, et non de la force de nos « bras ».

«Ainsi parle l’Eternel: Maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme, Qui prend la chair pour son appui, Et qui détourne son coeur de l’Eternel! Il est comme un misérable dans le désert, Et il ne voit point arriver le bonheur; Il habite les lieux brûlés du désert, Une terre salée et sans habitants. Béni soit l’homme qui se confie dans l’Eternel, Et dont l’Eternel est l’espérance! » Jérémie 17:5-7

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