16ème Jour : Qu’êtes-vous en train de cogiter?

Salut à tous les internautes. C’est un plaisir d’être ici avec vous.

Aujourd’hui, nous sommes au 16ème jour du jeûne, il manque peu de jours pour terminer ce propos, mais vous ne devez pas terminer ce propos sans que vous n’avez pas encore acquis votre objectif.

Bon, aujourd’hui la question est la suivante : « Qu’êtes-vous en train de cogiter ? »

Accompagnez-moi dans le livre de Deutéronome, chapitre 15, du verset 9 au 11.

« Prends garde à toi, qu’il n’y ait une pensée impie dans ton cœur, et que tu ne dises: La septième année, l’année de relâche, approche; et que, ton œil étant sans pitié envers ton frère pauvre pour ne lui rien donner, il ne crie contre toi à l’Éternel, et qu’il n’y ait du péché en toi.
Tu ne manqueras point de lui donner, et ton cœur ne lui donnera point à regret; car, à cause de cela, l’Éternel ton Dieu te bénira dans toutes tes œuvres et dans tout ce à quoi tu mettras la main.
Car il y aura toujours des pauvres dans le pays; c’est pourquoi je te fais ce commandement, et je te dis: Ne manque point d’ouvrir ta main à ton frère affligé et pauvre dans ton pays. »

Bien, remarquez comment commence le verset : il dit de prendre garde à toi, afin qu’il n’y ait pas une pensée impie, en d’autres thermes, une pensée malveillante, mesquine, de manque de considération, dans ton cœur…

Souvenez-vous qu’au débout du jeûne, le premier jour précisément, nous avons parlé du cœur ?

Voici… la pensée dans le cœur, ceci dit, dans votre âme, c’est votre être qui nourrit, à l’intérieur de vous, alors, vous devez prendre garde, pour qu’il n’y ait pas de pensée mesquine, malveillante, de manque de considération.

Nous voyons ici, qu’à la 7ème année, ils devaient donner quelque chose aux nécessiteux, ceci dans l’ancien testament, à l’époque de la loi, mais observez :

« et que tu ne dises: La septième année, l’année de relâche, approche; et que, ton œil étant sans pitié envers ton frère pauvre pour ne lui rien donner, il ne crie contre toi à l’Éternel, et qu’il n’y ait du péché en toi. »

Qui représente ce pauvre ? Je vais vous dire, le pauvre n’est pas seulement la personne qui n’a pas de conditions financières, lorsque l’on parle de pauvre, c’est un démuni, qui est-ce qui n’est pas un démuni dans cette vie ? Nous tous, nous sommes nécessiteux. Comment cela ?

Nous avons tous besoin les uns des autres, nous avons besoin de personnes pour nous servir, ainsi comme nous avons besoin de servir.

Par exemple, vous qui êtes une femme de ménage, ne pensez pas, que vous êtes une pauvre femme, parce que vous avez moins de conditions de patron, et alors il doit être généreux envers vous.

Le patron ainsi que l’employé, ont ses besoins, le patron a besoin d’être servi, et l’employé a également besoin de sa paie, de son jour de congé, enfin, chacun a sa nécessité.

Lorsqu’il est écrit, ici, au sujet de la 7ème année de la relâche, de la restitution, ceci dit, ils devaient donner, c’était la loi, et parfois vous voyez les lois de Dieu, tel que, le pardon, la sincérité, les bons yeux… et vous pratiquez ces lois juste, pour accomplir quelque chose.

Si vous commettez une erreur, et il n’y a pas de considération de votre part envers l’autre, et que celui-ci clame à Dieu, ceci est un péché, une injustice.

Imaginez que je vous surcharge ou vice-versa, et il n’y pas de la compassion, de la miséricorde,… le fait d’être patron, ne donne pas le droit d’être incompréhensif, les deux parties doivent être considérés.

« Tu ne manqueras point de lui donner, et ton cœur ne lui donnera point à regret; car, à cause de cela, l’Éternel ton Dieu te bénira dans toutes tes œuvres et dans tout ce à quoi tu mettras la main. »

Parfois, la personne commet une erreur, et elle promet de faire son devoir, mais elle le fait avec une arrière pensée, de manière malicieuse, avec une pensée malveillante, du genre : « ah, elle n’a pas fait sa pour moi, alors je ne le ferai pas non plus… »

C’est-à-dire, elle veut payer le mal par le mal, quand en réalité, Dieu, Il dit que la personne doit le faire avec plaisir, sans regret. Lorsque la personne devra pardonner, elle doit le faire, parce qu’elle reconnaît le besoin de le faire, en lieu de l’obligation, ce n’est pas seulement, parce que c’est la 7ème année, où Dieu a dit de pardonner, et puis elle continue de garder la rancune, le souvenir.

Peut-être, vous n’effacez pas le souvenir, vous n’oubliez pas, vous rendez la vie de la personne difficile, vous ne considérez pas, vous êtes radine, tout ceci, sont des pensés impies.

Qui que vous soyez, si vous avez des pensés impies, mesquines, malveillantes, que vous soyez baptisé du Saint-Esprit ou pas, il est écrit que vous devez prendre garde.

Nous devons prendre garde, Jésus a dit que bon c’est le Père, nous ne sommes pas « bons », bon c’est Dieu.

Alors, mon amie internaute, comprenez bien, vous n’êtes pas la personne « gentille », qui la raison, au contraire, vous devez vous méfier de vous-même, pourquoi ? Parce que vous avez déjà dit ou penser, ce que vous ne devriez pas.

Seulement le fait de penser et de nourrir « que je n’ai pas tort, je n’ai rien fait de mal… », vous avez déjà tort, parce vous nourrissez cela.

Vous pensez et vous agissez de façon erroné, c’est pour cela, que Dieu dit, vous ne devez manquer de donner et ceci, sans regret. Alors, Dieu vous bénira dans toutes vos œuvres, pourquoi ? Parce que vous avez pris garde de toute pensé impie.

Peut-être vous, qui vivez une situation financière difficile, vous avez cette pensé malveillante, non contre votre patron ou travail, mais envers Dieu, dans vos offrandes, dans vos défis avec Dieu : « Voyez, je fait mon défi, je donnes mes offrandes, mais je ne suis pas bénie… »

Mais vous devez donné, non par une imposition, car quand il y existe le sacrifice, il doit être sans regret, parce que vous vous le besoin de le faire, vous reconnaissez que vous devez le faire, que vous devez vous garder de toute pensée malveillante.

Et dire : « C’est attaché cette mauvaise pensé, parce que j’ai sacrifié et cette pensé m’est venue, c’est attaché ! Je ne vais pas contaminer mon sacrifice. »

C’est la vérité, lorsque la personne sacrifie avec la sincérité, la mauvaise pensé ne vient pas : « Ah, j’ai donné, et peut-être ils sont en train de voler, ils sont mauvais, ils profitent de la bonne intention de notre cœur etc etc »

Justement, c’est au moment de donner, que les pensés malveillantes viennent, les pensés mesquines, les pensés ingrates, observez une erreur grave, le manque de donner.

Lorsque vous donnez votre offrande, vous le faites pour que d’autres personnes soient sauvés, c’est la réalité, mais plusieurs ont des pensés malhonnêtes, pensent que c’est pour notre poche, pour notre bien-être.

Mon amie internaute, observez ce que vous pensez, observez votre cœur, car cette pensé malhonnête vient de votre cœur.

« Car il y aura toujours des pauvres dans le pays; c’est pourquoi je te fais ce commandement, et je te dis: Ne manque point d’ouvrir ta main à ton frère affligé et pauvre dans ton pays. »

Il ne cessera jamais d’avoir de besoins, mais nous devons donner de libre-volonté, sans imposition, sans obligation, sans se sentir gêné parce que le pasteur est en train de demander, parce que la personne a besoin et alors nous devons le faire, ou parce qu’il nous a été demandé de faire, non.

Nous devons le faire, parce que nous avons besoin de le faire, nous devons ouvrir main, cesser d’être égoïste, d’accord, mon amie internaute ?!

J’espère que ce message vous a aidez. S’il vous a aidez, racontez-nous comment il vous a aidé.

J’attends votre commentaire et votre sincérité me rend très heureuse.

Je vous embrasse très fort, et demain nous serons de retour!