10ème Jour – Ne vous plaignez pas!

Viviane Freitas

  • 11
  • Fév
  • 2015

10ème Jour – Ne vous plaignez pas!

  • 11
  • Fév
  • 2015

Bonjour à tous les internautes. C’est un plaisir d’être parmi vous et de vous accompagner dans le Jeûne de Daniel au cours de ces 21 Jours. Nous sommes déjà le 10ème Jour.

Le thème d’aujourd’hui est «Ne vous plaignez pas!».

Nous, les êtres humains, quand les choses ne sont pas en notre faveur, nous avons tendance à nous plaindre. Et quand nous nous plaignons, nous nous attachons à notre volonté. Même quand les choses ne vont pas bien et vous dites: «Mais n’est-ce pas de Dieu ce que je suis en train de vivre…». C’est vrai, quand je faisais face au stress et dans l’agonie de cette situation, je marmonnais, j’imaginais que Dieu allait faire une «magie» et pas un miracle. Si j’attendais un miracle, j’aurai agi la foi, mais au lieu de cela, je faisais tout ce qui était en mon pouvoir, conformément à ce qui a été orienté par le médecin et non par l’action de la foi. Et quand j’ai appelé mon père et que je lui ai dit que je ne supportais plus cette situation, je suis entrée en plein désespoir, parce que vous supportez jusqu’à une certaine limite – pendant un certain temps – mais lorsque c’est une foi émotive, qui attend juste que les choses se produisent, alors vous arrivez à votre limite, comme ce fut mon cas. Et il a parlé de façon très claire et nette: «Ma fille, cesse de te plaindre!» Et c’est ce que j’ai dû faire.

Et je vous le dis, ami internaute, qui traversez des moments très difficiles, dans ce Jeûne; qui voyez les autres conquérir et vous, vous restez à la traîne; vous qui confrontez des difficultés dans votre famille, avec votre mari et les gens que vous côtoyez dans votre travail ou à l’école et vous pensez que Dieu doit faire une «magie» pour faire cesser ces moments difficiles… Avant de continuer ce thème, suivez-moi dans la lecture:

«Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l’épreuve de votre foi produit la patience.

Mais il faut que la patience accomplisse parfaitement son oeuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien.» (Jacques 1:2-4)

Pour continuer ce que je vous parlais au sujet de ma vie, je croyais même que Dieu ferait le miracle, seulement je ne manifestais pas la foi et, par conséquent mes actions, ma façon de parler, révélaient cela. Quand mon père m’a dit que je devais cesser de me plaindre, c’était précisément pour agir ma foi!
Quand on vous dit: «Cesse de te plaindre et de marmonner…». C’est pour que vous cessiez d’agir par les circonstances.

Et quand le verset dit que nous devons avoir la joie au moment de passer par les épreuves, c’est parce qu’il y a une certitude en vous-même, qui ne dépendez de personne, mais seulement pour manifester la foi. Il est inutile de mettre la responsabilité du problème sur les autres, comme je le faisais, en disant que je faisais déjà tout… Je n’avais pas tout fait et vous non plus, vous n’avez pas tout fait! Vous vous plaignez et vous ne le faites pas.

Lorsqu’il vous traversez des épreuves, que se passe-t-il? Vous persévérez! Et quand vous le faites, vous allez découvrir que la foi ne peut pas être seulement un moment. La persévérance exige le maintien de la foi, alors je dois l’exercer. A chaque fois que j’ai senti quelque chose, j’ai déclaré: «Je ne vais pas me plaindre!». J’ai considéré ces paroles, comme si c’était Dieu qui me parlait. Et j’ai saisi cette opportunité, comme vous en avez l’opportunité.

Si vous affrontez des moments difficiles, c’est le temps opportun d’exprimer votre foi. Regardez ce qui s’est passé dans ma vie! Vous ne restez pas émerveillé? Des choses difficiles à vivre sont arrivées. Toutefois, lorsqu’il y a la persévérance et je garde la Parole de Dieu dans mon esprit, sans dépendre des circonstances, des traumatismes, de la famille, du mari… Je suis définie!

Quand vous avez cette foi, vous persévérez. Vous pouvez vous rappeler des situations dans votre vie où vous avez persévérez, parce qu’il y a eu une foi, une croyance. Par exemple dans vos études, ou pour un rêve personnel… et même si cela pesait durant des moments difficiles, même ainsi vous continuez à persévérer, parce que vous avez cru et vous aimiez cela. Alors, c’est la même chose!

Pour cesser de vous plaindre, vous devez comprendre que vous avez une foi en vous et vous devez aimer le défi, pour que vous puissiez mûrir dans la foi. C’est pourquoi il est écrit: «Mais il faut que la patience accomplisse parfaitement son oeuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien.»

Vous pouvez être baptisé du Saint-Esprit, ou non, mais déficient, parce que vous ne persévérez pas jusqu’au bout. Vous passez votre temps à vous plaindre et à regarder les circonstances. Regardez vers l’avant, parce que Dieu est avec vous!

Mes salutations et j’attends votre commentaire. Surtout des personnes qui ne commentent rien, parce qu’elles ont honte d’exposer leur problème. Commencez à agir votre foi et cessez de vous inférioriser, mais agissez en accord avec ce que vous croyez et mettez cela, par écrit, ici sur le Blog. Vous devez surmonter ce que vous croyez!


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3 comentários

  1. Pardon! C’est dans le même message qui souligne que nous devons préserver 🙂

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  2. Ce thème « ne vous plaignez pas » me fait penser aussi à l’histoire de JOSEPH EN ÉGYPTE. Depuis le moment où il a été vendu par ses frères, les injustices qu’il a pu passer, il ne s’est jamais plaint à Dieu, il a toujours été fildèle et obéissant à Dieu. Et Dieu le rendit justice en lui donnant même ce qu’il n’espérait. Revenant au message de cet article, comme vous dites Madame lorsque nous passons par des moments difficiles nous ne devons pas attendre que Dieu fasse de la magie. Nous avons une foi que nous devons mettre en pratique afin que le miracle s’accomplisse. Comme le message d’hier le souligne aussi nous devons être patient et persévérant.

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  3. C’est vrai en ce moment j’ai voulu resoudre un souci dans mon travail sans aide de Dieu personne ne peut pas.Au lieu de m’exprimer a les hommes je préfère parler à Dieu, parce qu’on dirait je suis en train frapper un mur, alors je laisse tout entre les mains Dieu.

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