17ème jour – Quelle était la nécessité ou le plaisir de Jésus?
- 23
- Juin
- 2014
«Pendant ce temps, les disciples le pressaient de manger, disant: Rabbi, mange. Mais Il leur dit: J’ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas. Les disciples se disaient donc les uns aux autres: Quelqu’un Lui aurait-il apporté à manger? Jésus leur dit: Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui M’a envoyé, et d’accomplir Son œuvre.» (Jean 4:31-34)
Beaucoup de gens font l’Oeuvre de Dieu, sur l’Autel ou dans le parvis, préoccupés de leurs responsabilités et fonctions et cessent d’être aux pieds de Jésus. Et cela signifie être attentif et sensible à Sa voix, Lui être agréable et pratiquer ce qui est apparemment juste.
Par exemple: Il est juste d’évangéliser, d’accueillir des gens, de parler de Jésus au travail, de donner un bon témoignage, etc. Mais, même en faisant ce qui est juste, vous n’êtes pas agréable à Dieu, parce que Sa volonté n’est pas ce qui l’emporte.
De même, beaucoup de gens donnent la dîme, séparant les 10 % de tout ce qui lui vient entre les mains, mais ils ne sont pas la propre dîme. Ils ne priorisent pas Dieu.
La personne réussit à se soumettre et à obéir, à l’instruction qui lui a déjà été donnée, mais ne réussit pas à être sensible à la voix de Dieu, en faisant Sa volonté. Pour cela, elle fait des choix selon ce qu’elle pense et non selon ce qui plaît à Dieu.
«Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui M’a envoyé, et d’accomplir Son œuvre.»
Tout d’abord c’est la volonté du Père, puis réaliser l’oeuvre. Mais, en règle générale, le contraire est fait: Tout d’abord, la personne veut faire l’oeuvre et ensuite savoir quelle est la volonté de Dieu.
Même si, apparemment, ce que vous faites est bon, cela peut ne pas être de la façon que Dieu veut que je le fasse. Par exemple: Louer Dieu, mais de façon mécanique et non rationnelle; prier, mais de façon émotionnelle; la prière n’est pas conduite par ce que l’on croit, mais pour ce que l’on ressent.
De cette façon, la préoccupation n’est pas de plaire à Dieu, mais de résoudre ses responsabilités et de satisfaire ses besoins, sans être aux pieds de Jésus. Et il y a une énorme différence en cela…
Pour L’obtenir, nous avons la grande nécessité d’être constamment en vigilance, pour que nous puissions comprendre ce que nous sommes en train de faire: notre volonté ou la volonté de Dieu?
J’attends votre commentaire sur le Blog. Votre participation me rend très heureuse! Et, bientôt, je parlerai plus sur moi et sur mes expériences.
Victoria
29 décembre 2016 à 02:03
Bonsoir Madame,
Je reçois tout de votre article. Je crois que cela va m’aider pour toujours. Avoir cette vigilance et véritablement être guidé par l’Esprit de Dieu dans ma vie au quotidien. Ma nécessité est en Lui parce qu’en réalité même dans les moindres choses, je réalise que je dois apprendre à être sous sa dépendance.
Que Dieu vous bénisse Madame Viviane.
Victoria
19 décembre 2016 à 09:18
Bonjour madame,
Votre article confirmé ce que le Saint Esprit a révélé à Son Église récemment.
Qu’en on médite bien le fruit qu’ont mangés Adam et Eve était le choix: d’obéir ou non, de faire la Volonté du Père ou non. Donc le fait que vous en parliez ça confirme encore une fois d’une autre façon qu’en toute chose, je dois chercher plaire, obeir et faire la Volonté du Père avant tout. Ne pas me laissé d’options comme Adam et Eve.
Dieu vous bénisse Madame!
joseline
8 juillet 2014 à 08:07
C’est vrai. Faire la volonté de Dieu commence d’abord à l’intérieur, purifier nos pensées, s’humilier devant Dieu pour faire ce qui Lui plaît et non notre volonté, et ensuite cela devrait naturellement se voir à l’extérieur à travers nos actes d’amour, quand nous prenons soin de nos semblables et des choses de Dieu. Ce qui revient à être vrai et sincère aux yeux de Dieu, et non faire semblant ou paraître devant l’homme.
Victoria
19 décembre 2016 à 09:20
Je suis d’accord, merci pour votre commentaire 🙂