- 5
- Mai
- 2014
Qu’est-ce qui me rend malheureuse?
- 5
- Mai
- 2014
Je sais que vous devez être déjà avec la «puce» à l’oreille, avec l’envie de connaître ce qui me rend vraiment heureuse et ce qui me rend malheureuse.
Dans l’article d’aujourd’hui, je vais révéler deux épisodes de ma vie, où j’étais dans cet état de pur malheur.
Le premier s’est passé quelques années auparavant, en Angleterre, où j’ai été face à un défi et je ne pensais pas avoir les capacités d’y faire face. En fait, j’ai vécu un tourment, où j’ai plongé dans un océan de sentiments… et encore plus de sentiments. Tous, m’ont diminuée et m’ont infériorisée. C’était littéralement un enfer, ce que je ressentais.
L’autre situation que j’ai traversé, a été très récente et m’a laissé extrêmement inquiète, triste et très angoissée. Tout en raison de nouvelles situations que je vis et je ne savais pas comment arracher cette douleur et agonie, existant à l’intérieur de moi et qui insistaient à rester. Si, par hasard, vous vous sentez ainsi, ou vous vous êtes déjà vu de cette façon, savez qu’il s’agit d’un problème qui perturbe votre intérieur. Et vous savez pourquoi je vous parle de moi? C’est pour que vous puissiez mieux vous rendre compte de votre condition et comprendre comment se débarrasser de cette impasse.
Savez-vous comment je l’ai résolu?
Tout d’abord… en pensant, en utilisant le raisonnement! Parce que quand nous utilisons la pensée, nous pouvons comprendre, avec plus de clarté, notre position sur la question. Et c’est sur ce point que j’ai déterminé: Je ne veux plus avoir cette préoccupation! Cela suffit!!! La même chose est arrivée dans les deux épisodes que j’ai exposés. Cela a seulement été résolu, principalement à l’intérieur de moi, quand j’ai utilisé la foi intelligente! Une foi qui pense et qui nous fait analyser notre état.
Et maintenant, est-il devenu clair, ce qui me rend malheureuse? La préoccupation envers moi-même, avec mes propres dilemmes!
Une chose est sûre: Chaque fois que je n’ai pas fait cas de ma préoccupation, j’ai été heureuse… j’étais libre!
Je suis heureuse, lorsque j’accueille les gens, lorsque je donne la vie, lorsque mon «problème» sont les âmes et pas mes problèmes personnels! Celle-là oui, c’est la meilleure des phases, c’est la plus belle de ma vie. C’est être absente de ce qui est mien.
La pire chose, qui existe dans ma vie, est de m’inquiéter avec mon égoïsme et tout est lié.
Aujourd’hui, je comprends tout ce que Jésus dit très bien, lorsqu’il demande de L’aimer en premier lieu et c’est à ce sujet que je vais écrire la semaine prochaine. Cependant, laissez votre commentaire sur ce que vous avez compris dans l’article d’aujourd’hui.
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Juvenir FITA-MBENZA
26 mars 2015 à 07:44
Bonjour madame, merci pour le message. Parfois moi aussi je suis triste et en lisant votre message, je me suis mise à m’examiner et j’ai bien vu que c’est parce que j’étais préoccupé avec ma vie personnelle et avec les âmes.
Vina
11 juin 2014 à 06:07
Merci pour ce rappel, souvent quand les problèmes arrivent, principalement des problèmes qui nous concerne directement a cause des émotions, de ce qu’on ressent on reste fixé sur la douleur que le problème cause. De ce fait, difficile de raisonner intelligemment.
Géraldine
10 juin 2014 à 19:55
je cogitais à ce sujet hier, sur le fait d’etre égoiste lorsque je me focalise sur mes problème et non quand je me preocupe de toute ces personnes qui souffrent et qui ne connaissent pas encore Dieu