Jusqu’à quand?
- 28
- Oct
- 2013
Avez-vous jamais entendu d’une personne proche et chère à vos yeux, une réprimande?
Vous a-t-on déjà montré une erreur; un défaut, qui, à l’époque, vous a fait penser, vous laissant révoltée contre vous-même?
Et vous avez changé?
Peut-être avez-vous même compris votre erreur; comme cela vous faisait mal d’être ainsi. Pour un, deux ou trois temps, vous avez même commencé à changer, mais avec le temps, les problèmes ont surgi; les défis; les épreuves… Vous commencez à vous décourager, vous finissez par «oublier» votre intention de changer et vous recommencez à être la même.
En fait, vous n’avez pas vraiment voulu changer; ce fut une pure émotion, comme un ballon rempli, qui a perdu peu à peu l’air et a flétri.
C’est comme un cercle vicieux: Vous vivez frustrée et le pire, c’est que maintenant vous avez pris conscience de votre erreur et vous n’arrivez pas à changer cela.
Jusqu’à quand?
Jusqu’à ce que je vois avec mes propres yeux mon erreur; mon état; mon intérieur; comme cette erreur m’affecte réellement et ô combien j’ai besoin de changer.
Si quelqu’un me parle au sujet de mon erreur, il peut même m’en convaincre, mais si je ne la reconnais pas; si je ne l’assume pas comme une «âme», je ne vais pas changer véritablement… Je ne vais pas demeurer ferme.
Je ne peux changer et transformer ma situation, que lorsque cela m’est révélé par Dieu et je voie mon erreur; mon besoin… C’est quelque chose de personnel; c’est moi qui en ai besoin! Je ne dois pas changer, parce que quelqu’un veut me faire changer mais parce que j’ai besoin de changer.
Alors là oui… Quand je me vois, quand je vois mes propres yeux, je deviens alors un témoin oculaire de mes erreurs; de mes défauts et je serai aussi le premier témoin oculaire de ma transformation… Fruit d’une foi intelligente, persévérante et personnelle.
WANGA Jacqueline, Nantes-France
2 novembre 2013 à 09:49
Bonjour Mme Viviane,
C’est exactement ce qui se passait avec moi au point de croire même que je suis baptisée du Saint-Esprit. Alors que quelques changements que je voyais en moi me satisfaisais.
Jusqu’au jour où j’ai subi la pire humiliation de ma vie et que je me rende compte de mon état spirituel. Au début, je ne voulais pas reconnaître mon état, mais le Saint-Esprit s’en est chargé et cela vaut mieux que tout les conseils et aides que j’ai reçus des serviteurs de Dieu.
Même le pasteur se tuait à nous expliquer que seul Le Saint-Esprit l’avait convaincu et que ce serait le cas pour nous, du moins pour ceux qui veulent vraiment changer leur identité.
J’étais tellement mal que je n’avais pas le courage de m’exprimer devant Dieu. Et j’ai briser cette glace en venant devant Lui et n me considérant comme rien du tout. Et là j’ai eu la force de Lui parler de toutes mes faiblesses et de mes peurs et IL a commencé a me montré le pourquoi de toutes ces choses.
C’est agréable de vouloir changer car on a plus honte de quoi que ce soit on veut tellement la lumière dans sa vie que peut importe la tâche ou les tâches qu’on a sur toi, on se dit que seule dans la lumière ces tâches seront visibles et pourront ainsi être enlevées.
Je rends Gloire au Seigneur Jésus pour Sa miséricorde et Sa Grâce envers moi.
Que Dieu vous bénisse et vous fortifie au Nom Puissant du Seigneur Jésus.
Mme. Jocelyne
1 novembre 2013 à 12:34
EH OUI! ET CECI JUSQU’À QUAND ?
Jusqu’à ce que à tant que servante (teur) de Dieu :
– je me rend compte de la mission pour laquelle Dieu m’a choisi,
– je cesse de vivre une illusion utopique dans ma communion avec Dieu,
– j’ arrête de vivre « le faire plaire »,
– j’arrête de prendre la désorganisation pour l’organisation,
– j’arrête de me donner à Dieu pour que le monde qui m’entoure dans sa maison et dans ce monde pense que je suis quelque chose,
– j’arrête de faire de la responsabilité que Dieu m’a confié un calcul, une piège ou un poste de commandement,
– j’arrête de m’amuser à calomnier sur les justes, les fidèles, les élus (malheureusement ces attitudes et ces comportements existent),
– j’arrête de négliger ou d »épargner le vrai sacrifice au profit de mon propre sentiment et consentement,
– J’arrête de prendre le bien pour le mal et le mal pour le bien, le oui pour le non, et le non pour le oui, la lumière pour les ténèbres et les ténèbres pour la lumière,
– j’arrête de …
Le Patriarche (Évêque Macedo) et toute Son équipe rapprochée (ses serviteurs fidèles et avisés) ont sont très clair (vrai ou faux ?)
Épouse,
Un démon a répondu comme ça à un serviteur sur un mur de facebook : »comment quelqu’un qui fume demande au peuple de Dieu de ne pas fumer? »
Mon Dieu ! Çà ma révoltée et Je me suis révoltée contre la situation.
Ce démon et son équipe ont reçu une représailles sérieuse et importante du Saint-Esprit. Avant que je ne retourne en arrière pour faire le lavage de la maison. Eh!èh!èh! Je vous prie de m’excusez, chers (res) participants (tes)! Nous ne sommes pas là pour blaguer avec le malin! Ou je suis servante, ou je ne la suis pas!? C’est un travail de SYNERGIE.
Dieu a pris du temps pour séparer ses serviteurs ?!… (vrai ou faux?). Du moins, c’est comme ça que ça s’est passé avec moi !…
Que le Seigneur bénisse à Tous! LA PAIX DU CHRIST! NOUS AVANÇONS! J’AVANCE!
Maeva
29 octobre 2013 à 23:03
C’est vrai ! j’ai fait l’experience. Dieu a permis certaines situations pour que je puisse comprendre par moi même que j’ai besoin de changer mon intérieur. Avant je pensais que j’avais vraiment changer mais en faites non parce que Dieu ne m’avait pas encore révélé cela.
Catarina - Paris / França
29 octobre 2013 à 22:36
C’est vrai Mme Vivi. Et cette c’est la plus grande délivrance que quelqu’un peut avoir: regarder ses défauts et ce qu’il faut changer, parce que a été révélé par Dieu!
Guillaume Bubiana
28 octobre 2013 à 20:22
Est ce que ça veut dire qu’on doit faire des erreurs pour comprendre ?
Si je vois mon amie foncer dans le mur je dois la laisser y aller parce que ce que je lui dirai ne lui permettra pas de changer ?
Claudia St Denis
28 octobre 2013 à 19:03
« Je ne peux changer et transformer ma situation, que lorsque cela m’est révélé par Dieu et je voie mon erreur; mon besoin… C’est quelque chose de personnel; c’est moi qui en ai besoin! Je ne dois pas changer, parce que quelqu’un veut me faire changer mais parce que j’ai besoin de changer.
Alors là oui… Quand je me vois, quand je vois mes propres yeux, je deviens alors un témoin oculaire de mes erreurs; de mes défauts et je serai aussi le premier témoin oculaire de ma transformation… Fruit d’une foi intelligente, persévérante et personnelle. »
C’est exactement ce qui m’est arrivée et ce dont j’avais besoin pour comprendre mon erreur!