Ouvrière, qu’y a-t-il contre vous?

Silvia Alvarenga

  • 3
  • Juin
  • 2013

Ouvrière, qu’y a-t-il contre vous?

  • 3
  • Juin
  • 2013

Lors d’une conversation avec une ouvrière au cours de cette semaine, nous avons parlé de divers sujets et quand je lui ai demandé si tout allait bien avec elle, en termes de relations, elle a tout de suite fait une tête, qui a révélé des signes que quelque chose n’était pas bien à 100 %, à cet égard.

Elle m’a dit qu’elle avait déjà résolu sa situation avec la personne en question, mais elle savait clairement que l’autre personne gardait toujours quelque chose en elle, contre elle… puis je lui ai, de nouveau, demandé:
– Mais avez-vous eu déjà un dialogue sérieux, avec franchise et sincérité, en vue de résoudre le problème?

Elle m’a répondu promptement: Cela n’en vaut pas la peine, il est préférable d’en rester là, parce que chaque fois que je m’approche, je vois une distance, comme si elle ne voulait pas en venir au sujet.

Compte tenu de ce scénario, je lui ai demandé de me lire quelque chose de si important et profond.

“Si donc tu présentes ton offrande à l’autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l’autel, et va d’abord te réconcilier avec ton frère ; puis, viens présenter ton offrande.” (Matthieu 5:23-24)

Avez-vous compris? Lui ai-je demandé.
À cela elle m’a répondu: je ne peux pas rester mal avec qui que ce soit… n’est-ce pas?

J’ai continué en lui disant: C’est bien plus profond que d’être mal avec quelqu’un.
C’est explicite: « … a quelque chose contre toi », autrement dit, si je me souviens que mon frère a quelque chose contre moi et pas moi contre quelqu’un, mon offrande et rien, c’est la même chose.

Je lui ai fait comprendre, et je vous fais comprendre ouvrière internaute, que votre offrande, qui ne se limite pas seulement au matériel, mais le fait de vous donner dans l’Oeuvre de Dieu, dans tous les sens, ne sera pas accepté, s’il n’y a pas tout d’abord, une réconciliation avec votre frère.

Votre service peut être «parfait», vous pouvez faire beaucoup, mais s’il n’y a pas une bonne relation avec vos compagnons de guerre, votre offrande n’est pas digne d’être sur l’autel de Dieu.

Il vaut mieux tout arrêter et résoudre ce problème de communication, où une conversation intègre et franche, suffit pour déboucher votre relation avec Dieu.

Racontez-nous votre expérience dans ce sens, avez-vous déjà vécu ou vivez-vous quelque chose de similaire?

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17 comentários

  1. Très bon message, parfois on préfère ignorer sans penser aux conséquences des autres vis à vis de nous même, parce que ça nous atteins pas ou parce qu’on a pardonné mais faut faire attention oui merci

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  2. En lisant cet article, je comprend que parfois on ne se rend même pas compte de la profondeur de certains passages bibliques, car pour celui ci on aurait tendance à s’arrêter sur nous même sans même se dire que si l’autre n’est pas en bons termes avec moi cela reviendra au même!

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  3. On a souvent tendance à mettre de côté ce genre de situation, mais si on veux être agréable à Dieu on doit passer par là et c’est un sacrifice aussi.

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  4. C’est vrai que ce passage est très fort car cela m’a beaucoup aider moi qui était une personne fière qui n’aimait pas du tout demander pardon car c’était un signe de faiblesse aujourd’hui j’ai compris que lorsque je cherche avant tout a m’analyser et a aller vers les personne que j’ai pu offenser pour leur demander pardon ou meme pour avoir une discussion avec eux je sais que cela plait a Dieu. Je ne vois plus cela comme un signe de faiblesse mais comme de l’obeissance, de la crainte et de l’humilité envers Dieu.

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