Révolte vs Incrédulité

Comment est votre intérieur? Triste, heureux, inquiet ou révolté?

Comment vous sentez-vous face au problème?


« C’est pourquoi, selon ce que dit le Saint-Esprit: Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos coeurs, comme lors de la révolte, le jour de la tentation dans le désert, où vos pères me tentèrent pour m’éprouver, et ils virent mes oeuvres pendant quarante ans. Aussi je fus irrité contre cette génération, et je dis: Ils ont toujours un coeur qui s’égare. Ils n’ont pas connu mes voies. Je jurai donc dans ma colère: Ils n’entreront pas dans mon repos! Prenez garde, frères, que quelqu’un de vous n’ait un coeur mauvais et incrédule, au point de se détourner du Dieu vivant. » (Hébreux 3:7-12)

Nous avons tous des problèmes avec lesquels nous débattons et ceux-ci seront surmontés, ou non, selon notre foi en Dieu.

Mais quel genre de révolte portez-vous? Avez-vous déjà fait tout ce qui était en votre pouvoir, pour vous révolter et parler à Dieu? Ou souhaitez-vous qu’Il fasse tout cela pour vous?

Amie lectrice, vous êtes le canal! La révolte commence, tout d’abord, en vous. S’il y a un problème et qu’il n’est pas surmonté, c’est parce que vous êtes incrédule!

L’incrédule ne croit pas à ce qu’elle fait et si elle le fait, c’est d’une manière religieuse. Quelque chose de répétitif et sans conviction. Elle assume être une personne révoltée, mais ne fait pas sa part, c’est parce qu’elle se limite juste à sentir cette »douleur ».

La révoltée agit et a les forces de réclamer de Dieu, ce dont elle a besoin parce qu’elle a sa conscience pure, elle sait que sa croyance n’est pas seulement verbale.

L’incrédule veut seulement les bénéfices que Dieu peut lui donner; satisfaire ses propres intérêts, mais ne veut pas se livrer à Lui. Elle affirme avoir la certitude que va se produire ce qu’elle attend, simplement pour étouffer son doute. Mais, au fond, elle est pleine d’incrédulité, car en elle, il n’y a pas de paix.

Notre opportunité ne se présente pas quand tout va bien, mais lorsque tout est contre nous!
Ce qui pour beaucoup est un affront, pour celui qui croit, c’est l’opportunité de pratiquer sa foi en Dieu. Et ce n’est pas une certitude motivée par l’orgueil, dans l’espoir de prouver aux autres – comme une «défense» – mais une conviction qui transmet la paix, avec Dieu et aussi avec ceux qui l’entourent.

La foi émotive n’exige rien de la propre personne, qui, pour alléger le poids, met le blâme de son incrédulité dans le diable… Comme un refuge.

La faible cherche toujours un «bouc émissaire» pour lui jeter la faute;
La forte assume qu’elle a un problème et le résout, parce qu’il existe une confiance qui lui transmet la paix. C’est Dieu qui la soutient; elle n’a pas besoin de l’affirmation des autres.

La croyance n’a rien à voir avec «les autres». C’est entre vous et Dieu!

Cela n’a rien à voir avec les préoccupations ou les tristesses qui vous dominent à l’intérieur, ou d’être enveloppée par un fond musical qui vous offre une prière bien plus composée de pleurs que de paroles.

Quand vous parlez avec Dieu «en sentant», vous jouez simplement le rôle de la petite victime, mettant en évidence, non votre croyance, mais les sentiments…

L’incrédule est une personne qui n’a aucun problème avec les autres, parce qu’elle imite tout ce que les autres font. Mais n’a aucune relation avec Dieu; n’a pas le courage de Lui parler, de lire la Bible, parce qu’elle a un cœur dur.
L’incrédule peut être conseillée, aidée, mais ne change pas! Et, face au problème, ne développe pas.

Voyez si votre révolte n’est pas, en réalité, une rébellion…

Dites à vous-même qui est en mesure de résoudre votre problème!

Dieu vous valorise et Il ne veut pas vous utiliser comme une esclave. Alors, n’endurcissez pas votre cœur. Voyez qui vous êtes pour Lui, parce qu’Il est proche de vous. Les incrédules resteront en dehors.

Participez aux 21 jours du Jeûne de Daniel, pour que vous soyez sûre, si vous avez été ou non baptisée du Saint-Esprit. Et, si votre réponse est Non, c’est votre opportunité!